Olfa Hamdi n'est qu'un exemple. Elle donne une idée de ce qui attend tout nouveau candidat qui voudrait braver les obstacles sans sacrifier aux anciens usages qui ont fait la preuve de leur inanité.

Tunisair est le prototype et le symbole non pas de la mal-gouvernance mais de l’impossible gouvernance. Cette entreprise a été depuis toujours, mais ces dernières années encore plus, « le fromage » de l’UGTT.

La conduite des affaires de l'Etat, Messieurs les décideurs, n'est pas une partie de jeu de cartes où le bluff et l'imposture sont permis pourvu que le jeu dure et que l'on sorte gagnant même avec les plus mauvaises cartes grâce à l'illusion et à la complicité de compagnons de fortune.

La démocratie n’est pas seulement une constitution, des élections, des lois, des institutions…non, c’est avant tout un engagement et une conviction.

...Rien que pour avoir réclamé ses créances commerciales, un investisseur a été lynché et menacé par des chroniqueurs, des politiques et une centrale syndicale. Quel étranger peut encore s’aventurer et investir en Tunisie ?

A l’encontre des centaines de nominations dans les institutions de l’Etat depuis des années, la dernière en date de Olfa Hamdi à la tête de Tunis Air, …

Je vois que la nomination de la donzelle Olfa Hamdi à la tête d'une des plus grosses filiales de l'UGTT, menacée de banqueroute et de faillite, a agité les eaux déjà troubles des chaumières facebookiennes …